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JEU VIDEO : GONE HOME |
Vendredi 26 Juin 18:17 » vu 119369 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
GONE HOME
Éditeur : The Fullbright Company Développeur : The Fullbright Company Console : PC, Mac, Wii U Type : Aventure, Point&Click Sortie France : 15 août 2013 Classification : Tous publics
Scénario :
6 juin 1995. Kaitlin Greenbriar retourne vivre entre ses parents le reste de son âge (oups, je voulais dire « rentre dans sa famille » ), aux États-Unis, après un long séjour en Europe. Il est tard (très tard), il pleut à verse dehors et personne n’est là pour l’accueillir. Ni sa mère, ni son père, ni sa sœur ne sont présents. La maison est sans dessus-dessous, le téléphone ne marche pas à cause de la tempête qui hurle dehors et deux messages énigmatiques ont été laissés sur le répondeur. Que faire ? Fouiller l’intégralité de la maison, histoire de comprendre ce qui a pu arriver !
Avis :
« Gone Home » est un jeu d’ambiance. Tout est fait pour vous plonger dans les années 1990 (mobilier, livres, magazines, objets, chansons, photos, etc.) et bien vous filer les chocottes au passage. Au départ de la partie, vous ignorez tout du lieu et de leurs occupants et c’est à vous de trouver les informations, en fouillant les tiroirs et les placards, en lisant les nombreux papiers qui traînent dans les pièces et en ouvrant les coffres ou portes fermés à clé. Votre recherche est ponctuée par le récit du journal intime de votre sœur, Sam, qui s’enclenche lorsque vous mettez la main sur des objets précis. Les pièces du puzzle qui constituent l’intrigue vous étant délivrées par petites touches, l’imagination s’engouffre dans tous les trous laissés et participe à l’ambiance pesante du jeu. A croire que tout a été fait pour vous faire imaginer le pire… Jouer à la première personne et « voir » à travers les yeux de Kaitlin n’arrange rien. J’ai d’ailleurs passé mon temps crispée sur ma souris et mon clavier, à couiner au moindre bruit. En ce qui concerne l’histoire, je préfère ne rien dévoiler, mais sachez que l’intrigue n’est pas celle que vous croyez. D’ailleurs, le scénario est composé de plusieurs sous-récits que vous pouvez découvrir ou non, selon vos pérégrinations. Personnellement, j’ai bien apprécié cette intrigue en tiroirs, et cette volonté de « récompenser » le joueur le plus obstiné en lui faisant découvrir pas mal de choses sur cette famille disparue. La durée de vie du jeu est relativement courte, à peine quelques heures en poussant à fond notre enquête. Ce point peut poser problème au vu du prix de départ du jeu (personnellement, j’ai profité des soldes Steam, cette invention du Démon). Enfin, bon à savoir : le jeu n’est disponible qu’en anglais (avec des sous-titres qui aident bien, mais quand on parle anglais comme une vache espagnole, ça peut être difficile). Cependant, des patchs linguistiques faits par des amateurs ont été mis en ligne par le développeur (français, espagnol, coréen, etc.), de quoi faciliter l’immersion dans le jeu !
En résumé, « Gone Home » est un Point&Click haletant, assez court mais très immersif.
Images :
Bienvenue dans les années 1990 !
On peut manipuler pas mal de choses dans ce jeu
Un placard comme je ne les aime pas à 1h du matin... |
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SERIE ANIMEE : LA CROISEE DANS UN LABYRINTHE ETRANGER |
Jeudi 10 Janvier 20:13 » vu 63217 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
LA CROISEE DANS UN LABYRINTHE ETRANGER (IKOKU MEIRO NO CROISEE)
Scénario :
Claude, et son grand-père, Oscar, tiennent une ferronnerie au sein d'une galerie marchande parisienne, à la fin du XIXème siècle. La vie y est difficile, notamment depuis la mort du père de Claude, et l'ouverture des « grands magasins », qui concurrencent fortement les petits commerces. C'est dans ce contexte que Oscar, grand voyageur devant l'éternel, ramène dans ses valises, Yune, une petite japonaise engagée en tant que domestique. Commence alors pour nos trois compagnons, une étrange cohabitation.
Personnages :
- Claude Claudel : jeune ferronnier réservé et caractériel, il est passionné par son métier et souhaite parvenir au niveau de son père. C'est un homme taciturne, mais qui peut se révéler drôle et affectueux par moments.
- Oscar Claudel : un vieil homme attiré par les voyages. Il passe la majeure partie de son temps à parcourir le globe et à tailler une bavette avec les habitants de la galerie marchande. Sous ses airs bonhommes et détachés, il tient énormément à Claude et essaye tant bien que mal de le « décoincer ».
- Yune : petite japonaise ayant quitté son pays pour devenir domestique chez Oscar, en raison d'une tradition familale. Elle paraît timide et maladroite, mais se révèle perspicace, sérieuse, têtue et attentionnée. Elle souhaite par-dessus tout satisfaire ses maîtres, et surtout Claude.
- Alice Blanche : cette demoiselle « de la haute » voue une passion dévorante pour tout ce qui est japonais. Elle possède chez elle une collection d'objets asiatiques et tente de comprendre et d'adopter cette culture qui n'est pas la sienne. Yune lui a tapé dans l'oeil dès leur première rencontre.
D'autres personnages ont leur importance dans l'intrigue, mais je ne peux, hélas, pas tous les citer...
Thèmes abordés :
- La découverte de l'autre - Le choc culturel - L'amour - Les inégalités sociales - La nostalgie - Le progrès face aux traditions
Avis :
Attention, je parle ici, comme pour « Chi », d'un anime qui n'a pas été licencié en France (Ce qui est bien dommage). Cette série est assez courte car elle comprend 12 épisodes, et est palpitante ! Ses créateurs ont effectué un véritable travail de fond pour que le spectateur soit plongé dans le Paris du XIXème siècle. Les bâtiments, les objets, les habitudes du quotidien et les vêtements sont parfaitement reproduits. On peut peut-être reprocher aux coiffures de Claude et Oscar d'être un peu anachroniques (comme celles d'Alice et de Camille), mais ce n'est pas très choquant, ni très important. De même, les textes, les enseignes, et la voix off, sont en français, ce qui est un plus ! Le chara-design est donc très agréable à l’œil, et la musique agrémente le tout, pour nous plonger dans une certaine atmosphère historique. Même si la vie des protagonistes, et plus généralement des Parisiens semble agréable et joyeuse au premier regard, la série nous montre bien que le quotidien n'est pas simple, et qu'il faut parfois faire face à des obstacles parfois infranchissables. Les exemples de Claude et de la sœur d'Alice, Camille, sont révélateurs. L'un doit reprendre l'affaire familiale, et marcher dans les pas de son père, grand artiste ferronnier, malgré les difficultés économiques ; l'autre doit correspondre à tous les codes de la haute société, afin de faire honneur à sa famille et trouver un mari fortuné. Cette période de l'Histoire, relative aux conséquences de la Révolution industrielle sur la société est assez bien décrite. Les commerces individuels souffrent du regroupement des produits dans les grandes enseignes, et l'on voit bien qu'il s'agit d'un tournant, auquel il faut s'adapter pour ne pas disparaître. Les personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires sont attachants et bien développés. Chacun a sa place et son rôle, et je les trouve tous intéressants. L'un des thèmes principaux de la série est bien évidemment le choc des cultures. Yune doit se faire à sa nouvelle vie, Claude doit composer avec une culture qui n'est pas la sienne. Les malentendus et les incompréhensions sont nombreux, mais les découvertes et l'humour ont leur place. Lorsque Yune goûte du fromage pour la première fois, ça vaut le coup d'oeil ! Même si l'histoire suit un fil rouge, qui est l'adaptation de Yune à sa vie en France, chaque épisode a sa propre problématique, comme la réalisation d'une enseigne pour Claude ou la visite de courtoisie chez Alice. La fin peut laisser sur sa faim (Oh oh oh, jeu de mots), tant l'histoire est prenante et les personnages intéressants. J'ai eu envie d'en savoir plus, notamment à propos des relations entre les protagonistes, mais la série en elle-même ne finit pas en queue de poisson. En effet, l'objectif d'origine était l'intégration de Yune dans l'univers de la galerie marchande. Et ceci est respecté.
Images :
De gauche à droite, pour les demoiselles : Camille, Alic et Yune. Pour les damoiseaux : Oscar et Claude
Non, un kimono, ça ne se met pas comme ça !
La galerie marchande, haut lieu de l'intrigue ! |
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FILM : LE TABLEAU |
Lundi 15 Octobre 21:27 » vu 68365 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
LE TABLEAU
Scénario :
Dans un tableau abandonné par son peintre, vivent trois factions : les Toupins, personnages achevés et fiers de leur statut, les Pasfinis, exclus de la société et les Reufs, créatures fragiles, forcées de survivre dans la forêt et traitées comme des rebuts. Face à la menace de plus en plus réelle des Toupins, qui veulent définitivement asseoir leur soi-disante suprématie sur le reste des habitants du tableau, trois personnages, des trois groupes, décident de partir à la recherche du peintre. Pour cela, il faudra sortir de la toile et explorer un monde bien différent...
Personnages :
- Ramo : Toupin intelligent et sûr de lui, il croit au retour du peintre. Son plus grand souhait est que sa chère et tendre ait enfin un visage peint, et qu'ils puissent vivre leur amour au grand jour.
- Lola : Pasfini têtue, rebelle et taquine, elle représente la médiatrice du groupe, celle qui permet à tout ce beau monde de cohabiter dans cette escapade. Contrairement aux autres Pasfinis, elle ne souhaite pas être achevée, mais plutôt rencontrer le peintre pour lui poser une question.
- Plume : Reuf sensible, il ne souhaite tout d'abord pas se joindre à nos deux baroudeurs, horrifié par le traitement des Toupins et même de Pasfinis vis-à-vis de ses compatriotes. Pourtant, par amitié, il est prêt à tout traverser, même son tableau.
- Magenta : soldat d'un tableau représentant la guerre, pacifiste et n'appréciant pas de se battre continuellement, à l'instar de ses camarades. Il suit sans regret Lola et ses compères, dans leur recherche du peintre.
Je ne cite pas tous les personnages du film, il y en a pas mal (comme l’amoureuse de Ramo ou le fameux peintre).
Thèmes abordés :
- La création - L’amour - La différence - L’acceptation
Avis :
Voilà une autre perle d'animation, française cette fois-ci ! Le scénario m'a immédiatement plu, et j'ai dû patienter un peu avant de voir le film au cinéma (Maintenant, le DVD est tout à moi, mouahahah). L'animation peut paraître étrange, face à son mélange de personnages en 3D, de paysages 2D, et d'images réelles, mais le tout se fond très bien, sans que cela choque. Il y a d'ailleurs de très belles scènes, dont une de mes favorites : celle où la chère et tendre de Ramo rêve de son bien-aimé. L'intrigue est censée se dérouler dans les années 1930, même si cette donnée n'est pas essentielle pour visionner « Le tableau ». Toutefois, la musique, et le style des œuvres du peintre, font explicitement référence à cette période. Comme pour « Le fil de la vie », les protagonistes ont tous parfaitement conscience d'appartenir à une toile, ce qui donne lieu à une véritable réflexion sur le rôle du peintre, et son implication dans ses œuvres. Chaque caste de la peinture possède ses propres caractéristiques, en rapport avec son niveau de « finition ». Les Toupins sont ainsi très confiants dans leur personne, voire arrogants. Ramo prouve d'ailleurs cet aspect, dans son rôle de leader au sein du groupe. Les Pasfinis semblent plus complexés, devant vivre avec un sentiment d'inachevé. Quant aux Reufs, ceux-ci ne finissent pas leurs phrases, bégaient, et risquent la mort là où un Toupin ou un Pasfini serait simplement blessé. Je dois avouer que ma petite préférée reste Lola, celle qui présente la situation au début de l'intrigue, et qui nous guide tout au long de l'histoire. On peut affirmer qu'elle est l'héroïne, même si chacun a son importance ! Ramo et sa douce forment, de leur côté, le couple qui défie les lois, puisque le premier est un Toupin, et la seconde, une Pasfinie. C'est pour elle que Ramo va défier sa faction et partir à l'aventure. Ces deux-là ajoutent une dimension sentimentale très intéressante, qui trouve un écho dans la propre vie du peintre. La morale de l’histoire me semble un peu négative, mais il ne s’agit que de mon avis. Je vous laisse la découvrir par vous-mêmes. Par contre, la scène finale est ma préférée, et se termine sur une interrogation bien trouvée. En d'autres termes, un film prenant, touchant, et vraiment, vraiment très beau.
Images :
De gauche à droite : Ramo, Lola, Plume et Magenta
Le peintre, ou plutôt son autoportrait
Les gondoooles à Veniiise !
Pour terminer, un petit lien vers la bande-annonce du film.
PS : Remarque qui n'a rien à voir, mais en fait si ; Ramo est le portrait craché de Monsieur Logique, mais en bleu...
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MANGA : LE GRAND AMOUR DE VENUS |
Samedi 01 Septembre 17:55 » vu 62193 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
LE GRAND AMOUR DE VENUS (VENUS WA KATAOMOI)
Synopsis :
Suzuna Ashihara, demoiselle de 18 ans, tout juste sortie du lycée, débarque à l’université Kôto, pour y suivre un cursus littéraire. Aidée de sa meilleure amie, Hinako Kaji, elle tente d’apprivoiser ce nouvel univers. Elle devra d’ailleurs composer avec ses enquiquineurs de voisins, Eichi Uozumi et Yuki Ikeuchi, ainsi que Shinya Fukami, le séduisant tennisman.
Personnages :
- Suzuna Ashihara : puérile et maladroite, la miss peut passer pour une gamine au premier abord. Elle est cependant dotée d’une détermination à toute épreuve, d’un sens de l’observation inné et d’une forte capacité d’adaptation. Elle se montre parfois très mature.
- Eichi Uozumi : voisin de chambrée de Suzuna, il est d’un naturel taquin. Fou amoureux de Fukami, son ami d’enfance, il est prêt à tout pour empêcher notre héroïne de lui mettre le grapin dessus. Il est également grognon, trait de caractère qui lui permet de cacher ses hésitations et ses complexes.
- Hinako Kaji : belle et intelligente, elle est un modèle pour Suzuna. Indépendante et sûre d’elle, cette jeune femme s’intéresse énormément à la culture grecque.
- Shinya Fukami : grand benêt maladroit, Fukami est un athlète doué, sociable et généreux avec ses amis. Sa passion pour le tennis est tout pour lui, même s’il ferait mieux de faire un peu plus attention à son entourage.
- Yuki Ikeuchi : mannequin et étudiant, plus jeune que nos quatre premiers compères, il sait user de son charme pour attirer la sympathie. Vantard et sûr de lui, il semble avoir un faible pour Eichi.
D’autres personnages apparaissent au fil de l’histoire, mais je ne peux pas tous les nommer ici.
Thèmes abordés :
- L’amour - L’amitié - La découverte de l’autre - La prise de choix pour l’avenir
Avis :
Sous ces airs de shojo niais, se cache un récit, certes niais, mais élaboré et doté d’un sens de la psychologie des plus fins. Autre avantage, et non des moindres pour moi : l’homosexualité est abordée comme une caractéristique normale pour définir une personne. Nous n’avons pas droit à des traitements du genre : « Tu aimes un homme alors que tu en es un ?! Mais c’est trop bizarre ! T’as eu un problème avec ta mère, dans ton enfance ? » ou « Tu es homo ? Mais c’est trooop bien ! Je t’imagine avec plein de beaux gosses super pervers et dominateurs ! ». Non, la seule remarque fournie est : « Tu es attiré par les personnes du même sexe que toi ? Et alors ? T’aimes quelqu’un, c’est tout ». Les personnages sont tous bien différenciés, et chacun à sa place dans le récit, même si certains disparaissent, le temps d’une situation (On ne peut pas diriger une dizaine de personnages d’un simple coup de crayon). L’intrigue de base semble être un banal triangle amoureux, mais elle se révèle plus complexe, tome après tome. A savoir, le trait de la mangaka n’est pas parfait. Les personnages semblent parfois statiques, sans mouvement de grande ampleur. De même, ils ont l’air trop jeune pour des étudiants. Mais ce serait oublier le soin apporté aux décors, aux vêtements et aux attitudes de tous les protagonistes. Les histoires parallèles se complètent sans incohérences, et ajoutent un plus. Le dénouement a beau se révéler facile à deviner, certains rebondissements surprennent, et la solution apportée à un problème en particulier m’a énormément plue (Ca change des résolutions neuneu sans conséquences). Pour faire simple : une (ou plutôt plusieurs) histoire d’amour simple, claire, mais efficace. Avec une bonne dose d’humour pour ne rien gâcher !
Images :
Suzuna et Eichi
Yuki au naturel
Suzuna sous la neige
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JEU VIDEO : PLANTES CONTRE ZOMBIES |
Lundi 16 Juillet 10:57 » vu 63721 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
PLANTES CONTRES ZOMBIES (PLANTS VS ZOMBIES)
Editeur : PopCap Games Développeur : PopCap Games Console : A peu près tout et n'importe quoi, puisque c'est un jeu online à l'origine Type : Tower Defense/Stratégie Sortie France : 5 mai 2009 Classification : Pour tous publics (même si c'est un poil gore)
Scénario :
C'est la catastrophe ! Une invasion de zombies débarque chez vous, et rien ne semble les arrêter... Que faire ? Sortir le lance-flammes ou les haches ? Que nenni ! Pour protéger votre nid douillet, il faut planter des graines, permettant de vous défendre (des noix-boucliers, des lanceurs de petits pois ou encore des cerises-grenades). Serez-vous assez malin pour vous débarrasser de cette vermine morte-vivante ?
Avis :
J'avoue que les jeux de stratégie, et notamment ceux du type « Tower Defense » (On se construit une défense, en attendant l'ennemi, qui arrive en vagues successives) ne me tentent pas des masses, mais celui-ci est suffisamment inventif et marrant pour me plaire. Le principe des plantes qui nous aident à lutter contre les zombies est vraiment original, et chaque graine a une caractéristique propre. Pour nous protéger, nous devons utiliser des points « soleil », qui tombent aléatoirement dans notre jardin, ou en cultivant des Tournesols. Il faut donc les utiliser à bon escient, puisque chaque plante en nécessite un certain nombre, avec une certaine durée de rechargement. La diversité de nos armes compense celle de nos ennemis : les morts-vivants. Ces derniers sont vraiment variés, et on se casse parfois les dents pendant plusieurs essais, pour essayer de les vaincre. Pour vous donner un exemple, vous avez les zombies de base, ceux équipés d'un plot de circulation, plus difficiles à tuer, ou encore les zombies chevauchant des dauphins et pouvant sauter au-dessus de vos lignes de défense (Oui, les dauphins sont des animaux maléfiques, depuis le temps que je le dis ! ). Chaque niveau est divisé en 5 ou 10 rounds, avec des terrains différents : le jardin, la piscine, le toit, avec des séquences de jours ou de nuit (Avec son petit brouillard et ses tombes du plus bel effet). Lorsque vous avez terminé le jeu une première fois, vous pouvez le recommencer avec une difficulté accrue, sachant que vous avez également accès à des mini-jeux bien plaisants, ainsi qu'un mode survie des plus addictifs. S'ajoute à tout cela un jardin zen, qui permet de cultiver des plantes et de récolter des sous. Oui, l'argent est utile dans ce jeu, puisqu'avec lui, nous pouvons acheter des améliorations à notre charmant voisin : Dave le dingo. La durée de vie est donc relativement élevée. Pour résumer, « Plantes contre zombies » est un jeu sympa, drôle et qui rend facilement accro, avec quelques passages relativement durs (Et durant lesquels je me jette sur les mini-jeux, histoire de m'améliorer).
Images :
Un exemple de défense possible au cours d'une partie
Un game-over un peu crade
Un des mini-jeux disponibles : le bowling sur zombies !
En bonus, la chanson du jeu : Plantes contre zombies - There's a zombie on your lawn |
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SERIE ANIMEE : ANGELS |
Vendredi 01 Juin 16:27 » vu 77394 fois, [] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
ANGELS - L 'ALLIANCE DES ANGES
Scénario :
Dans notre joyeux univers coexistent deux factions, qui se disputent le « pouvoir » sur les humains : les anges et les démons. Les premiers doivent les mener sur le droit chemin, les seconds les tentent, pour qu'ils cèdent à leurs mauvais désirs. Afin de devenir des gardiens accomplis, les apprentis anges et les apprentis démons sont envoyés sur terre, et suivent un cursus long et difficile. Chaque être humain est confié à un ange et à un démon, qui doivent tour à tour l'aider ou l'ensorceler. Cependant, ces créatures sont chargées de respecter à tout prix le libre-arbitre de leur protégé, et ne peuvent le forcer à faire un choix. Comment ? En se défiant : celui qui remporte le défi peut intervenir et influencer de son mieux son humain. C'est dans ce contexte que Raf, une ange, rencontre Sulfus, son démon de rival. Nos deux héros ont un code à respecter, c'est-à-dire rester dans leur rôle, mais quelqu'un semble vouloir les en empêcher.
Personnages :
- Raf : jeune ange en apprentissage, elle est attentive et déterminée, toujours prête à aider. Parfois mélancolique et butée, elle essaie tant bien que mal de respecter son credo, en dépit de ses sentiments envers un certain démon.
- Sulfus : démon répondant parfaitement aux critères de sa faction, il aime semer le désordre et pousser les autres à respecter sa loi. Il peut toutefois se montrer calme, surtout face à une situation complexe, impliquant une ange de sa connaissance.
- Reina : femme mystérieuse, cloîtrée et enchaînée dans une dimension-prison, elle cache son visage derrière un masque d'araignée. Son unique but est de réunir Raf et Sulfus, qui semblent être la clé de sa liberté ; et ceux, quels que soient les moyens de réussir.
Je ne parle pas de toute la flopée de personnages que la série comprend, dont les amis de nos deux héros.
Thèmes abordés :
- Le passage à l'âge adulte - L'amour - L'amitié - Le libre-arbitre - Le respect
Avis :
Sous son aspect nunuche et moralisateur, « Angels » est une série pas si vide de sens. Tous les personnages, à commencer par les anges et les démons ont une personnalité affirmée, ne se réduisant pas à appartenir au camp des « gentils » ou des « méchants ». D'ailleurs, les deux factions s'unissent face au danger et s'entendent de manière plus ou moins cordiale. Chacun suit ses convictions, en respectant les règles qui lui sont soumises. De même, les humains ne sont pas de simples marionnettes qui suivent aveuglément les conseils de leur ange ou de leur démon. Ce n'est pas parce qu'un de ces derniers remporte le défi que son humain agira dans son sens. Les réactions des personnages peuvent parfois apparaître incohérentes, mais tout est souvent expliqué et justifié, ce qui nous évite les fameux « Tais-toi, spectateur ! C'est comme ça et pis c'est tout ». L'univers est assez complet. Nous avons deux mondes différents, qui s'opposent mais se respectent, ont leurs propres règles, culture et langage. En ce qui concerne les humains, il s'agit de notre société, représentée certes de manière un peu édulcorée, mais suffisamment réaliste pour qu'on y croit (La violence, la manipulation, les problèmes d'argent ou familiaux, etc.). Les relations entre anges, démons et humains sont bien présentées, notamment pour Raf et Sulfus. Ça me fait plaisir de voir une série où les relations amoureuses ne se résument pas à « On s'aime, et puis en fait non, mais en fait si... Oh et puis zut, c'est trop compliqué », avec une fille cruche et soumise, et un garçon jaloux et froid (On sent mes lectures déçues de shojo manga). Un des messages qui revient le plus souvent est « Il faut assumer les conséquences de ses actes », ce qui me parle assez. Chaque décision entraîne des effets, qui se répercutent sur la suite de l'intrigue, essentiellement chez les humains. Pour les anges et les démons, cela peut se révéler moins clair. Les épisodes sont assez courts, et durent rarement plus de 12 minutes. Il faut donc suivre la série pour comprendre, même si l'épisode seul comprend un scénario clair et précis. Pour résumer, une série pas si simpliste qu'elle en a l'air, avec de l'humour, une bonne louche de psychologie et un peu de drame, même si le ton reste positif (Et j'assume mes goûts, comme me le dit le dessin animé ! ).
Images :
Raf et Sulfus
Raf, en pleine réflexion
En haut : Cabria, Sulfus et Kabalé. En bas : Urié, Raf et Dolce.
Je vous évite le générique. Que ce soit en français ou en italien, sa version d'origine, c'est trop niaiseux pour moi... |
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FILM : FINAL FANTASY : LES CREATURES DE L'ESPRIT |
Lundi 23 Avril 16:57 » vu 77459 fois, [3 commentaires] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
FINAL FANTASY : LES CREATURES DE L'ESPRIT
Scénario :
En 2065, la Terre n'est plus vraiment la même. Un astéroïde, peuplé d'étranges aliens, les fantômes, a percuté la planète et entraîné la fuite des êtres humains, ainsi que la destruction d'une bonne partie des êtres vivants. En effet, ces créatures se nourissent de l'âme de tout ce qui vit, tout en étant quasiment invisibles. Les humains survivants se sont donc réfugiés dans des villes, protégées par des boucliers énergétiques. C'est dans ce contexte que le docteur Aki Ross parcourt le monde à la recherche des 8 esprits, seuls capables de vaincre les fantômes.
Personnages :
- Aki Ross : jeune scientifique en quête des 8 esprits nécessaires pour sauver la Terre, elle cherche également à comprendre les fantômes. A la fois forte et faible, elle veut avant tout réaliser son objectif.
- Gray Edwards : capitaine d'une troupe d'élite, loyal et courageux. Il inspire le respect et peut se révéler inébranlable.
- Docteur Sid : vieux savant à l'origine de la théorie de Gaïa, l'esprit de la Terre, il a sauvé Aki d'une mort certaine. Prêt à tout pour lutter contre les fantômes, il prône cependant une méthode « douce ».
- Général Hein : depuis que sa famille a été « asborbée » par les fantômes, son unique but est de tous les détruire, quel qu'en soit le prix. Fier et têtu, il est néanmoins doté d'un certain sens de la stratégie.
Je ne donne que les principaux personnages. Les coéquipiers de Gray sont d'ailleurs très importants pour l'intrigue.
Thèmes abordés :
- La survie - Le respect de la planète - L'autre - Les dilemmes - Le sacrifice de soi
Avis :
D'entrée de jeu, sachez que je ne suis pas une grande fan de Final Fantasy. Je connais la série de jeux vidéo, je joue à certains d'entre eux, et je suis au minimum ce qui sort au sein de la licence. Certains puristes pourront ainsi expliquer pourquoi ce film m'a plu, n'étant pas au fait de toute la mythologie de la série. Ce qui m'a d'abord frappé, ce sont les images. La qualité est vraiment au rendez-vous, d'autant plus quand on sait que ce film date de 2001. Les décors sont magnifiques, tout comme les effets d'ombre et de lumière. Même si la Terre ressemble plus à champ de ruines qu'autre chose, c'est un très beau champ de ruines. Les personnages sont également facilement identifiables, ce qui est souligné par un doublage bien trouvé (Devinez de quelle langue je parle). Les ennemis, quant à eux, sont vraiment impressionnants et effrayants. Ils n'ont pas de véritable enveloppe solide, ce qui les rend quasiment invisibles et imprévisibles. Leur manière d'achever leurs proies ne donne pas non plus envie de faire plus ample connaissance avec eux. Ce n'est pas du méchant de Prisunic ! L'intrigue est assez complexe, et il faut s'accrocher un minimum pour comprendre la théorie de Gaïa, le principe des 8 esprits ou l'origine des fantômes. Cependant, les explications fournies par les personnages sont assez claires et permettent de mieux rentrer dans l'histoire. Certains événements sont certes prévisibles, mais je dois avouer que je suis restée sur mon séant face à une bonne partie des rebondissements (Et ça change de d'habitude, vous pouvez me croire). Un film pour ceux qui aiment la science-fiction, le symbolisme, et les aventures bien rythmées.
Images :
Aki Ross, notre preuse héroïne
Un fantôme dans toute sa splendeur !
Il faut parfois se reposer 5 minutes...
Pour terminer en musique, voici un des deux génériques de fin. J'ai dû choisir entre Lara Fabian (Méconnaissable) et l'Arc-en-ciel... L'arc-en-ciel - Spirit dreams inside
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MANGA : JIN |
Lundi 09 Avril 12:57 » vu 76243 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
JIN
Synopsis :
Jin Minakata est un fameux médecin, responsable du service de neurochirurgie d'un CHU japonais. Le jour où il doit cependant s'occuper d'un patient, visiblement sans origines et légèrement fou, sa vie bascule. Cet inconnu possède en effet une tumeur en forme de fœtus dans son crâne. Cette dernière déclenche des visions étranges à Jin. C'est ainsi qu'en poursuivant le patient opéré, en fuite, que notre docteur chute et se retrouve en pleine forêt. Mais, pas n'importe laquelle : la forêt environnante d'Edo, l'ancienne Tokyo, en 1862. Jin devra dès lors, sans savoir s'il pourra retourner dans son époque, aider les autres avec ses talents... hors du temps.
Personnages :
- Jin Mintaka : homme timide et maladroit, il se transforme en virtuose du scalpel une fois son rôle de médecin endossé. Il est prêt à tout pour sauver une vie, même à risquer la sienne.
- Saki Tachibana : jeune adolescente bien sous tous rapports et fille de samouraï, elle est dotée d'un solide sens des responsabilité et d'une insouciance parfois surprenante. Elle s'intéresse de près au personnage qu'est Jin, ainsi qu'à ses connaissances médicales.
- Ei Tachibana : veuve d'un humble samouraï et mère de Saki, elle essaie tant bien que mal de maintenir sa famille au rang social qui est le sien. Sévère et froide, elle est cependant sensible et courageuse.
Au fil des tomes, de nouveaux personnages apparaissent, dont certains essentiels aux nombreux rebondissement de l'intrigue.
Thèmes abordés :
- Le voyage dans le temps - La médecine - Le dépassement de soi - La violence du Japon du XIXème siècle - La découverte du monde occidental
Avis :
Grande amatrice de récits étranges, le synopsis de « Jin » m'a tapé dans l'oeil jusqu'à l'omoplate. Parfois dur, notamment durant les scènes d'opération (C'est quand même très moche un être humain, de l'intérieur) , cette série se dévore, et nous fait découvrir un Japon que je n'imaginais pas. On est loin des fantasmes des voyageurs de l'époque ou des histoires édulcorées de certaines BD. Nous sommes plongés dans l'atmosphère de cette période historique, sans concessions. La deuxième moitié du XIXème siècle est en effet un moment majeur de l'Histoire du Japon, où ce pays s'ouvre à l'étranger, tout en tentant de garder sa culture. Les convenances sociales, les traditions et les événements de la vie quotidienne rythment l'existence vraiment pas ordinaire de Jin. Notre héros, bien que pétri de bonnes volontés, est malgré lui emporté dans des projets et des complots dangereux, sa pratique de la médecine étant mal vue de beaucoup de monde, dont les puissants. Ce manga est sombre au premier abord, mais garde quelques touches d'humour, et surtout d'émotion. L'auteur arrive à nous transposer dans le personnage de Jin, et nous aide à comprendre ce monde ancien, et à l'apprécier. Un ouvrage à lire d'urgence, ne serait-ce pour son côté à la fois scientifique et historique.
Images :
Puisqu'on te dit que tu as fait un bond dans le passé !
Jin enseignant la médecin à Saki
Y a de jolies filles aussi !
PS : Le prochain volet de "A qui est ce générique ?" se basera sur la rapidité des participants. Je vous annonce donc qu'il sera publié jeudi, aux alentours de 20h, histoire que chacun ait sa chance de gagner !
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JEU VIDEO : PUYO POP FEVER |
Jeudi 08 Mars 19:28 » vu 62761 fois, [] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
PUYO POP FEVER (PUYO PUYO FIBA)
Editeur : Ignition Entertainment Développeur : Sega Console : Nintendo DS Type : Puzzle-Game Sortie France : 29 septembre 2006 Classification : Pour tous publics
Scénario :
Amitie, jeune magicienne du royaume de J'ai-oublié-le-nom-et-de-toute-façon-ça-ne-change-pas-grand-chose, quitte son école afin de parcourir le monde et de poutrer la façe de nombreux adversaires, au cours de duels de Puyo Pop. Officiellement, la demoiselle doit retrouver la baguette magique de son professeur, pour obtenir une récompense.
Avis :
Tout d'abord, sachez que je n'ai trouvé ce jeu qu'en version anglophone, ce qui ne constitue pas un obstacle terrible pour jouer (Contrairement à un jeu de la série des « Phoenix Wright » où j'ai maudit l'éditeur avant de rageusement me faire rembourser cet achat, qui n'indiquait PAS DU TOUT l'absence de version française... Ah si, en tout petit). Pour ce qui est du gameplay, rien de plus simple ! Vous devez empiler ou aligner des puyo (petites boules de différentes couleurs) dans un cadre rappelant furieusement Tetris. Si vous arrivez à assembler quatre puyo de la même couleur, ceux-ci disparaissent et vous permettent d'obtenir des points. Attention, ce n'est pas tout ! Comme vous jouez contre un adversaire, celui-ci veut lui aussi gagner. De même, à chaque grappe de puyo faite, vous donnez un handicap à votre rival, qui peut se retrouver avec un énorme tas de puyo neutres et perdre car son écran en est rempli. A vous de récolter le plus de points, afin de remporter la victoire. Pour vous aider, un mode « fever » est déblocable lorsque vous remplissez une certaine barre : et là, à vous les puyo, les points par milliers et l'énorme coup de grâce à donner à votre adversaire ! Différents modes sont disponibles : le mode Histoire, comprenant trois parcours proposant différents niveaux de difficulté (RunRun, WakuWaku et HaraHara) et le « bataille libre », qui permet de choisir son personnage ainsi que son concurrent, le mode Multi-joueur et le mode Libre, où vous pouvez accomplir différentes missions. Le jeu en lui-même est assez sympathique et pas trop prise de tête. Cependant, certains adversaires vous donneront des boutons tant le niveau de difficulté est élevé (perdre dès la première minute est vraiment frustrant). La musique colle bien à l'atmosphère du jeu, et le chara-design se veut kawaïï. La durée de vie de « Puyo Pop Fever » est assez courte, mais comme il s'agit surtout d'un puzzle-game, cela ne pose pas vraiment problème. L'important, c'est de s'amuser, le temps d'une petite partie.
Images :
Amitie, notre héroïne
Toute la bande du jeu
Un exemple de gameplay
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SERIE ANIMEE : MACROSS PLUS |
Samedi 14 Janvier 23:55 » vu 62326 fois, [0 commentaire] |
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs |
MACROSS PLUS (MAKUROSU PURASU)
On peut dire que je triche, puisqu'il s'agit d'un ensemble de quatre OAV, datant de 1994.
Scénario :
Il était une fois dans une galaxie lointaine, très lointaine... En réalité, sur une planète colonisée par les humains, se retrouvent trois anciens amis d'enfance : Isamu, Guld et Myung. Les deux premiers ne se supportent plus depuis un mystérieux événement. La dernière préfère oublier son passé et se jeter corps et âme dans son métier : productrice de la chanteuse virtuelle et interplanétaire, Sharon Apple. Nos deux damoiseaux quant à eux, se retrouvent rivaux lors de l'essai de deux vaisseaux de combat concurrents. Qui réussira le test ?
Personnages :
- Isamu Alva Dyson : pilote de génie dans l'UN Spacy, il est néanmoins très indiscipliné et têtu. Muté contre son gré sur sa planète natale, il se doit de tester un chasseur expérimental. Charmeur et insouciant, il a le don d'agacer pas mal de monde. - Guld Goa Bowman : droit dans ses bottes et prudent, il est l'exact opposé d'Isamu. Extraterrestre chargé du projet concurrent de chasseur de combat, il ne semble perdre son sang-froid qu'en présence de son ancien ami d'enfance. - Myung Fan Long : demoiselle désabusée, ayant tourné le dos au chant, sa passion de toujours, pour s'occuper de Sharon Apple et effacer le passé de sa mémoire. Elle semble toutefois garder beaucoup d'affection pour Isamu et Guld.
Il s'agit bien entendu de nos trois héros. D'autres personnages apparaissent et agissent au long de l'intrigue, notamment Sharon Apple.
Thèmes abordés :
- La rivalité - L'amour - Les convictions de chacun - Le passage à l'âge adulte - La technologie, notamment l'intelligence artificielle
Avis :
Je connais peu de séries de mecha (mais si, les gros robots), et j'ai découvert celle-ci par hasard. Une petite série de quelques épisodes sur le thème du retour aux sources ne pouvait que me tenter. L'intrigue est rondement menée et débute tout d'abord par plusieurs histoires en parallèle, qui finissent par se rejoindre pour un grand final. La révélation tant attendue peut laisser sur sa faim, mais elle permet de mettre la lumière sur beaucoup de points importants. Les images ont beau de ne plus être de la première jeunesse, j'en ai pris plein les mirettes. La scène du concert de Sharon Apple a d'ailleurs de quoi rendre épileptique. De même, la musique de Yoko Kanno accompagne parfaitement le tout, alternant entre des mélodies classiques et modernes. Les chansons de Sharon Apple mélangent à la fois de l'anglais, du français et de l'hébreu, avec des mélodies qui restent longtemps en tête. Enfin, le doublage français est bon, même s'il change après le deuxième épisode. Mention spéciale pour le doubleur d'Isamu, qui arrive bien à retranscrire le côté sale gosse, mais ô combien honnête du personnage. Pour résumer en quelques mots, une série dans le genre des space-opera, intimiste et épique, jouant sur l'action et l'émotion, pour une visionnage vraiment prenant.
Images :
Les deux chasseurs en concurrence
Sharon Apple
Guld et Isamu, visiblement en pleine discussion
En guise de bonus, une de mes chansons préférées, tirée de cette série : Macross Plus - Wanna be an Angel |
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Nom |
Clara |
Date naissance |
Un 28 février |
Passions |
Le dessin, l'écriture, un peu de lecture, le ciné... Ouais en gros un tas de trucs !
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Sport |
Hum... J'aime bien le sprint et la baston (la sympa avec mon frangin XD) |
Livre de chevet actuel |
"De la maladie" de Virginia Woolf |
Musiques |
De tout et du n'importe quoi. |
Films |
Beaucoup, beaucoup de choses ! Je donne quelques exemples : "Les enfants de la Pluie", "Si tu tends l'oreille", "Paï", "Le Royaume des Chats", "Escaflowne le film", "Star Wars" etc... |
Manga/Anime |
- X-Day |
- Millenium Actress |
- Kimi wa Pet ! |
- Speed Grapher |
- Les princes du thé |
-Les Visions d'Escaflowne |
-Bride Stories |
-Lovely Complex |
-Rough |
D.A/Série |
- Code lyoko |
- Monsieur Bébé |
- Nestor Burma |
- Oban Star-Racers |
La chanson que j'ai dans la tête maintenant tout de suite |
"Licence to kill" de Gladys Knight |
Ma dernière sortie au cinéma |
"Deadpool" |
Ma dernière expo |
"James Bond" |
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